5 novembre 2012
À Montréal, Québec, Boston ou San Francisco, les universités sont sous pression. Leurs dépenses augmentent plus vite que l’inflation, et les contribuables et donateurs privés participent plus que largement à leur financement. Et comme un problème ne vient jamais seul, les universités commencent à perdre des étudiants au profit de fournisseurs privés spécialisés dans la formation en ligne de niveau universitaire.
Alors que les universités québécoises s’apprêtent à se réunir en sommet à la suite des grèves étudiantes, le spécialiste Henry J. Eyring explique comment, aux États-Unis, les temples du savoir innovent tout en économisant !
À Montréal, Québec, Boston ou San Francisco, les universités sont sous pression. Leurs dépenses augmentent plus vite que l’inflation, et les contribuables et donateurs privés participent plus que largement à leur financement. Et comme un problème ne vient jamais seul, les universités commencent à perdre des étudiants au profit de fournisseurs privés spécialisés dans la formation en ligne de niveau universitaire.
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